Incroyable rencontre partie II [ Avec Hinata Hinazaki ]

Ceci est la suite directe à Incroyable rencontre [ Avec Hinata Hinazaki ].

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Je me dirigeai vers la forêt, calmement. Quelques minutes plus tôt, j'avait été convoqué dans le bureau du directeur. Il m'avait informé que je serai déplacé dans la 3-A, la classe d'Evangéline et Chachamaru, que Takamichi voulait me combattre pour me tester, il faudra que je retienne mes coups un max, et qu'une bête créature qu'on ne sait pas ce que c'est, c'est réfugié dans la forêt. J'espère que je pourrai rencontré Takamichi en chemin... Tout d'abord, je pensai piquer un somme quelque part... Ouai, c'est une bonne idée ... Mais où ? ... Je sais sur les toits ! Je regarde à droit... personne, à gauche ... personne non plus. Je pouvais utilisé mes pouvoirs ! Heureux, je fonça sur le mur, m'arrêta à deux petits mètres, et sauta. J'arriva sur le toit en moins de temps qu'il ne faut pour dire " ouf ! ". Cependant, je suis passé devant la fenêtre du bureau du vieux, et je crois que la fille de tout à leur, Hinata Hinazaki si je me souviens bien, m'a vu... Pas de chance, sur ce coup là ! Bon... j'espère qu'elle ne m'a pas réellement vu. Finalement, j'ai pas envie de dormir, et je redescendit par le même endroit d'ou j'étais venu. Hinata n'était plus dans le bureau du directeur... Bah, ce n'est pas important. L'important, c'est Takamic... la bête non-identifié. Direction la forêt.
Je marcha une dizaine de minute avant d'arriver à la forêt. Aucun monstre en vue... Peut-être était-il plus loin, qui sait ? Je m'avança donc dans la forêt... 5 minute ... 10 minute ... 15 minute ... Il y en avait marre !! Pourquoi je ne trouvai rien... Quand soudain, je vis un peu plus loin, dans les arbres, ce qui pourrait être l'objet de ma présence ici, je m'avança, puis je vis que la bestiole se préparer à attaquer. Elle me sauta sauvagement dessus. C'était un Dragon-griffon. Comment diable, ce dragon a-t-il put se retrouver ici ? Il essaye de me mordre, de me donner des coups de griffes, mais c'étaient des coups dans le vide. Le dragon avait les pattes avant, les ailes et le bec d'un oiseau. Cependant, il avait des cornes, une queue et le ventre d'un dragon. Il avait aussi une grande crinière. Je continua d'esquiver les coups avec facilité, quand il s'envola.

J'invoque les Esprits du Feu, du Vent, de la Foudre, de la Terre et de l'Eau ! Venez à moi, et soumettez-vous à ma volonté !

J'allai pouvoir tester une de mes nouvelles techniques. Je verrai sa puissance en combat réel

Incendium Gehennae ! des flammes apparurent dans ma main gauche. Stagnet ! les flammes étaient maintenant emprisonné dans ma main. complexo ! Katen Ihaisô !!

Cette sensation était étrange. C'est comme si mon corps n'était devenu qu'une essence. Mon corps était fait de flammes. Je sauta à hauteur du dragon, et fonça sur lui.

J'invoque les Esprits du Feu, du Vent, de la Foudre, de la Terre et de l'Eau ! Venez à moi, et soumettez-vous à ma volonté !

J'allai faire ma seconde nouvelles techniques. Heureusement que le directeur avait mit une barrière magique, faisant que si quelqu'un était en dehors de la forêt, il ne voyait pas le combat.

Spring de inferno, et Géhennes . Spring de Aether . Invocato Omnipotentis quaerite et ira divina !! Flamma Demon Ignis Exitosus !!

je lança mon sort, et une Titanesque collone de flammes rouge/noire entouré d'éclair eux même rouge sortait de mes mains. J'avais du mal à la controler. Le dragon griffon ne put même pas hurler tellement il avait peur. Il fut consummé tout entièrement dans les flammes de ma technique. J'annula mes sorts, et redescedit. J'enleva mon T-shirt et m'assis dans l'herbe.

"- J'ai sacrément chaud, je ferais pas ça tout les jours !" dis-je en me couchant dans l'herbe. J'ouvris les yeux et vis Hinata Hinazaki qui me regardait avec des yeux ronds...

A l'instant même où j'ouvrais la porte du bureau du directeur, encore étonnée du fait qu'un élève venait de sauter par une fenêtre, de retomber intact, et de continuer sa route comme si de rien n'était. Le directeur commença à ouvrir sa bouche, il allait prendre la parole, et je me voyais déjà me faire disputer comme jamais. Puis, il se ravisa. La colère que je sentais monter petit à petit retomba d'un coup.

" - Ah, j'oubliais. J'ai oublié de donner ce poignard au jeune homme juste avant toi. Aysawa Inugami. Il a du partir en direction de la forêt. Peux-tu y aller et lui donner ce poignard s'il te plait ?

Je fis une légère courbette et tendit la main, ce qui signifiait oui. En même temps, avais-je seulement le choix ?

Bien aimable à toi. Pour te remercier, et car cela fait quarante fois que tu rentres et sors de mon bureau pour rien, je passe pour cette fois... Sur, tu sais, tes petites bêtises. Mais que ça ne se reproduise plus.

- Merci infiniment... Je leur dirais."

"leur" ? Le directeur me regarda de travers, ne comprenant pas qui désignait ce " leur " et pourquoi leur dire. Oops. Je me contenta de faire comme si je n'avais pas vu le regard pleins de questions du directeur et m'avança de quelques pas pour récupérer le poignard. Par un signe de la main, je su que je pouvais partir. Je sortie du bureau, dévala les escaliers. Pourquoi donc lui remettre un poignard ? Toujours leur jeu je suppose. Mais très peu prudent de me le remettre. De plus, j'aurais pu me blesser ou autre... Et cette forêt, n'y était-il pas censé y avoir une bête monstrueuse ? Bien sur, je n'y crois pas, et l'idée que la bêbête existe vraiment ne m'a, à vrai dire, même pas traversé l'esprit. Là n'était pas le problème. Le directeur, lui, y croyait surement. Alors, était-il, effectivement, devenu complètement fou, où voulait-il ma mort ? Bon, peu importe. Le résultat était ce qu'il était, que le directeur me voulait du mal ou non, il n'y avait de toute façon pas de bestiole en ces lieux, donc peu importe ses intentions.

Je poussa la porte du bâtiment, et accéléra le pas pour arriver dans la forêt. Je n'avais pas envie d'être entrainé dans leur histoire plus longtemps, il valait mieux que je me dépêche, que je redonne le poignard, les laissant tous deux à leur folie et ensuite j'allais sans doute me recoucher.

Bien que je ne crois pas à leurs histoires, entrer dans cette forêt me mit la chair de poule dès le premier pas dans la forêt... Je m'aventura doucement, posant délicatement pas après pas, essayant de faire le moins de bruit. Ce qui était totalement ridicule. Le moins de bruit pourquoi ? Pour ne pas me faire repérer par une boule de poile qui pose des champignons explosifs qui résiderait dans la forêt ? Ne pas me faire repérer par Aysawa qui, peut-être, dans sa folie, me prendrait pour une ennemie et me déchiquèterait ? Oui, sans, doute, la deuxième solution ne semblait pas si inimaginable finalement. Donc, je faisais mieux de faire attention.

Au bout d'un moment j'entendis des bruits. Comme des paroles. Je ne comprenais strictement rien, mais par les bruits, les sortes de cris et les paroles, deux personnes semblaient être en train de se, je ne sais pas, disputer ? Au fur et à mesure que les bruits se rapprochait, je compris que les mots prononcé n'étaient pas en japonais, mais une langue inconnue. Je pu distinguer également une sorte de bruit, d'animal sans doute...

Le son qu'émettait ces deux personnes commençaient à se rapprocher. Honnêtement, je commençais sérieusement à avoir peur... Puis je vis une... Colonne de feu ? Oui, une colonne de feu noir ou je ne sais trop quelle couleur. Euh, je voyais une colonne de feu sortir de nulle part et m'attardait sur la couleur de celle-ci ? Je commençais à devenir bizarre... Non, le plus impressionnant ne fut pas la couleur de la colonne de feu, mais la colonne de feu en elle-même débord ! Et ensuite, le dragon qui brûlait, et se consommait juste devant moi. Il retomba au sol à mes pieds.

"- J'ai sacrément chaud, je ferais pas ça tout les jours !"

Devant le dragon, le même garçon qui avait sauté par la fenêtre, se trouvait assis dans l'herbe, semblait avoir terrassé... Le dragon ? Je le regarda, ébahit. Je déposa la dague que m'avais confié le directeur au sol, lui précisant que le directeur m'avait chargé de lui remettre, tout en reculant de plus en plus. Non sans peur qu'il me fasse des petits morceaux de moi comme il avait fait pour le pauvre dragon devant moi.

Certes, j'avais peur. Mais, je ne devais pas... Finalement, ce n'était ni Aysawa, ni le directeur de fou. C'était moi... Je commençais à devenir aussi folle que les deux autres Hinatas et à avoir des hallucinations. J'allais revenir au dortoire, et me réveiller, dans la seconde qui suivait. Mes rêves devenaient de plus en plus bizarres ces derniers temps... Euh, c'était bien un rêve hein ?

L'herbe fraîche de la forêt effleurait mes cuisses nues, et je sentais des larmes me monter aux yeux. On avait pas de telles sensations dans un rêve... NON. Pourquoi... POURQUOI MOI ? J'étais déjà assez folle come ça ! Je n'avais nullement besoin de magie et de dragons ! Il n'y avait que moi pour l'instant entre les trois Hinata qui avait encore une once de bon sens. Je ne voulais pas commencer moi aussi à délirer. Je ne voulais pas devenir complètement folle, non, je le refusais... Depuis le départ, mon rôle consiste à amener du bon sens à ce corps qui comportait trois esprits. Si je devenais folle aussi... A quoi je servais ? Les deux autres pouvaient très bien être folles sans mon aide et tenir très bien sans moi, si je commençais moi aussi à être folle. Alors... Cette partie de moi... Etant inutile, je serais amener à disparaître sans doute... Tandis que je retenais des larmes qui me brûlaient les yeux, mes jambes, désormais dénués de toutes force possible, s'écroulèrent sur l'herbe, juste aux côtés du dragon.

" - Tu es magicien n'est-ce pas ? ma voix tremblait un peu, du fait des larmes que je m'efforçais de retenir. Même si je tremblais, mon visage restait comme d'habitude, mon expression qui ne changeait pratiquement pas, à part peut-être un peu triste. Je n'avais ni la force de pleurer ni d'hurler.

- si tu l'es... S'il te plait, je te demande une faveur, est-ce que tu peux effacer ma mémoire sur ce que je viens de découvrir ? Je t'en prie... "

Je me doutais bien que ce n'allait sans doute ne pas être possible, trop dur, ou bien, trop dangereux, mais je doutais que ça réussisse. Cependant, je continuais d'espérer. J'essuyais d'un revers de la main mes larmes qui n'allaient pas tardés à tomber si je ne les essuyaient pas. Désormais, seule ma voix tremblotante persistait mais mon visage semblait déterminer. N'ayant pas assez de force pour me relever et lui faire une courbette, je replia mes jambes sous mes cuisses en seiza, et approcha mon front du sol.

Puis je répéta une seconde fois " Je t'en prie... " et attendit sa réponse dans l'espoir que celle-ci soit positive.

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