Kendo , omelette et arrivée inatendu [PV Nao]

Les cours de Kendo , une des seules choses réussissant à détendre Kiro , mais malheureusement celui ci ne durait qu’une heure , une heure de détente c'est déjà pas mal . La clairière ou se déroulait ses cours n'était qu'a quelques pas du dortoir , il faisait gris et le vent soufflait entre les arbres de Mahora . Le jeune neko venait d'arriver mais il trouvait ce collège extraordinaire , vêtu d'un pull à capuche rabattu sur ses oreilles de chats et un survêtements , enfin un après midi de pause , il aller enfin pouvoir se reposer dans sa chambre , au calme . Il prit son temps regardant les feuilles volaient , portaient par le vent , et emportaient au loin , après un léger moment d’inattention il arriva devant le dortoir .

Tout était calme , les couloirs presque vide , son sabre sur le dos Kiro marchait dans les corridors ne croisant que quelques rares élèves . Tout semblait normal , arrivé a son étage , le premier il remarqua un élève devant sa porte qui changeait le papier ou était marqué son nom . Le jeune homme pressa le pas et arrivé devant sa porte qu'elle ne fut pas sa surprise quand il découvrit qu'il allait avoir un colocataire du nom de : Nao Haruomi . Il haussa les épaules , cela ne le dérangeait pas d'avoir un colocataire il devait juste ne pas utiliser la magie dans la chambre , il entra dans la chambre curieux de voir si ce fameux Nao était arrivé . Mais il n'était pas encore là , le neko plaça son sabre dans son placard et rangea le tas d'affaires en vrac qui trainait afin de faire bonne impression .

Il n'avait à présent plus qu'a attendre le nouveau , il passa le temps comme il pouvait , il fit des devoirs en avance , de la console et même un peu de ménage . "Tic tac" , 19 heures et encore aucune traces du coloc , Kiro attrapa une poêle et commença à faire la cuisine : Une simple omelette aux champignons qu'il avait ramassait ce matin même dans la forêt . Il fit revenir les champignons et cassa ses œufs , mélangea le tout et le plaça dans sa poêle chaude (Il fait une omelette quoi x) ) . Il avait presque perdu espoir quand on toqua a sa porte il se leva et ouvrit la porte :

-Bonjour c'est pour quoi ?

Cela faisait environ 2 heures que Nao était partis de chez lui. 2 heures, depuis qu’il était partis de la maisonnette ou son oncle l’avais mis, pour passer la nuit, et rejoindre le campus le lendemain. Il S’était mis en route vers 15 heures, heure plutôt tardive, mais il avait voulu s’assurer qu’il n’oubliait rien. Il était partis chargé comme une mule, sacs, valises et sacoches. Qui aurait pu croire qu’un garçon aussi fin pouvait porter autant de baguages ? Pas lui en tous cas. Il fit ainsi marche jusqu'à la gare.

Par chance, le train était à l’heure, et Nao sauta vite sur une place libre, et posa ces baguages à ses pieds. Il connaissait le chemin jusqu’à Mahora, il avait un petit papier rangé dans sa poche, qui indiquait le chemin. Sauf que le papier y était plus. Le train démarra sans que Nao s’en aperçu, trop occupé à fouiller l’ensemble de ses valises, pour retrouver se fichu papier. Au moins, il avait encore son billet. Au bout de quelques minutes, il fallait se rendre à l’évidence ; le papier était perdu. Aucun moyen de retrouver sa route. Pas de veine, le jour de son arrivée. Et c’est ainsi que le drame se produit, il loupa la gare de Mahora. Il fallait être pas malin pour la rater, la dame du train disant bien clairement lors de la phase d’approche : « Gare de Mahora ! Gare de Mahora ! ». Sauf qu’il s’était endormi, l’effort de tout à l’heure l’avait épuisé. Nao était sorti de son sommeil juste après la bonne gare, et, pris de panique, et suivant un plan du trajet du train, donné par une vielle dame, il sorti du train. C’était la gare d’après, située a 6 kilomètres de Mahora. Ce n’était pas gagné. Bagages aux mains, il parcouru la distance séparant la gare a Mahora, en long, large et en travers, les cheveux au vent, pour enfin arriver dans un couloir sombre, situé au sein d’un des nombreux bâtiments du campus géant. Celui ou devait être sa chambre.

Il parcouru du regard l’ensemble des portes, jusqu’à tomber sur une porte, ou un petit bout de papier venait d’être collé. « Nao Haruomi ». C’était bien lui. Il devait être avec un certain Kiro Nekomi. Ou une certaine Kiro Nekomi. Cela faisait longtemps que Nao n’avait pas vu fréquenté d’autre personne, au point d’oublier le masculin et le féminin des prénoms. Il appréhendait d’ailleurs beaucoup son colocataire. Comment la relation se passerait elle ? Il resta ainsi plusieurs minutes, devant la porte, sans oser bouger, puis il toqua. Un jeune homme ouvrit :

-Bonjour c'est pour quoi ?

Le jeune homme se tenait sur le pas de la porte, en face de Nao. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas vu d’autre visage, et son regard croisa celui de Kiro. Nao baissa instantanément les yeux. Il avait constaté que son colocataire habitait une chambre plutôt jolie, et bien rangée. De plus, une casserole faisait mijoter un plat sur la cuisinière.

- Je suis Nao Haruomi, enchanté. Je suis votre nouveau colocataire. Ravis de vous rencontrer.

Tout en joignant le geste a la parole, Nao constata que le dénommé Kiro avait de longs cheveux roux. Style assez original. Nao se mis sur le lit du bas, celui qui n’était pas tout à fait défait. Il posa ses bagages à terre, et demanda à Kiro :

- Ou pourrais-je mettre mes affaire, K … heu … Je peux vous appeler Kiro ?

Cette première expérience était plutôt intense. Cela devait faire 6 ans que Nao n'avais parlé a personne d'autre que son oncle ... Et bien que Kiro eu l'air sympathique, Nao resta en retrait.

Je suis désolé du temps que j'ai mis pour répondre ...

-Je suis Nao Haruomi, enchanté. Je suis votre nouveau colocataire. Ravis de vous rencontrer.

Vous ? Bon passons sur ce vouvoiement , quand je croisa son regard il croisa les yeux il baissa le regard comme gêné ... C'est cheveux était bleu , je ne fut pas étonné car dans le monde magique les couleurs de cheveux varié et moi même j'ai les cheveux oranges carotte .Il avait également les yeux bleus , très joli , mais ceux violet ou ceux de la princesse du crépuscule sont encore plus beaux .Je ne l'ai jamais vu pour de vrai mais j'ai eu la chance de voir de retransmissions et des documentaires sur sa vie . Bref il entra , posa ses sacs sur le lit du bas qui est le mien , mais bon je ne dis rien et la fameuse question arrive :

Alors t'as un placard pour tes habits ici et tu dormiras dans le lit du haut .

Je pointa les meubles du doigt , ouvris le placard et enleva mes vêtements et mon sabre que j'avais rangeais dans la partie maintenant vie est prête à accueillir les affaires de Nao . Soudain un bruit attira son attention , son omelette était enfin cuite , j’éteignis le gaz et la coupa en deux avant de la servir dans les deux assiettes . Je m'assis sur ma chaise et fis signa à mon nouveau colocataire de me rejoindre et de s’assoir . Je gouta mon plat , je trouvais que j'avais bien réussi , espérons qu'il aime les champignons ...

[HRP: Je m'excuse aussi, j'ai eu des problèmes IRL.]

Son nouveau colocataire paru étonné par sa question. Nao ne voyait pas ou était le problème. Avait-il dit quelque chose de mal ? Il ne le savait pas, et ne le saurait probablement jamais. Le dénommé Kiro le dévisagea un certain temps, esquissa une sorte de tic de mécontentement lorsque Nao s’assis sur le lit du bas. Il comprit que c’était le sien. Puis Kiro lui indiqua un petit placard quelque peu poussiéreux.

Alors t'as un placard pour tes habits ici et tu dormiras dans le lit du haut.

Il était franc, pensa Nao. Apparemment, il devait avoir son âge puisqu’il le tutoyait. Le lit du haut, c’était bien sa chance. Il détestait rester au sol. Nao se releva et jeta ses quelques baguages sur le lit en question –réflexe idiot- et suivi le jeune homme du regard lorsque ce dernier changea de pièce. Un petit bruit avait capté son attention. Un truc grillait sur une poêle. Kiro la coupa et la servit. Puis il s’assit et proposa a Nao de faire de même. Nao s’assis timidement devant l’omelette, puis dévisagea son nouveau colocataire. Apparemment, il était ravi de se rendre compte que son plat était comestible, se qui fit doucement rire Nao, de bon cœur. Puis il s’attaqua a l’omelette lui-même. Elle était sommairement classique, mais bonne dans l’ensemble. Devant le regard insistant de Kiro, Nao lui fit un signe de tête approbatif. Son omelette était comestible et bonne, et Kiro en semblais ravis.